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Ce blog présente mes 3 labradors dans leur activité sportive canine :l'éducation, les concours de chiens truffiers et d'obéissance, l'entraînement au field trial et leurs petites vies de retrievers.

Journée d'automne



L'automne arrive lentement en Dordogne...et les arbres sont encore bien vert.
Après les travaux ici, petite balade en forêt avant le retour à la maison.


Couleur d'automne

 

Chanel

 

 

Une rivière coule proche de notre terrain

 

 

On se balade

 

 

On renifle partout

 

Chanel court

 

Utah a l'affût...

 

 



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M
<br /> Bonjour Houba, l'automne a été plus tard aussi par chez nous les couleurs ont pris un bon moment avant de sortir et même encore nous avons bien du vert !! Magnifiques photos avec tes chiens :)<br /> Chanel est superbe. Bisous à toi et à plus.<br /> <br /> <br />
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A
<br /> De bien belles et bonnes promenades d'automne.<br /> <br /> <br />
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C
<br /> ils en ont de la chance de pouvoir évoluer en toute liberté !<br /> <br /> dimanche matin, je suis retournée avec Phénix aux étangs et je me suis fait "rabrouée" deux fois !<br /> -"vous n'attachez pas votre chien ??<br /> -si vous y tenez, mais il n'est pas agressif ...<br /> -c'est pas moi qui veut, mais il y a un panneau disant qu'il faut les attacher et ce n'est que par la conscience collective que le monde évoluera !!!<br /> - ??? pas tout compris du message, sauf que je n'étais pas politiquement correcte à leurs yeux !<br /> <br /> bon, ben, on ira se promener en semaine quand tout le monde travaille !<br /> et Phénix n'est qu'un Labrador ... alors si c'était un Rott !<br /> <br /> <br />
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M
<br /> c'est comme par ici , les couleurs ocres ont du mal a prendrent le dessus , bise houba<br /> <br /> <br />
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L
<br /> En cette froide soirée qui débute un petit texte et un gros bisous<br /> <br /> poésie de William Chapman<br /> <br /> Depuis un mois il neige à flots. La nuit dernière<br /> Il a plu. Maintenant sous la froide lumière<br /> Du soleil hivernal le givre immaculé<br /> Étincelle aux rameaux du grand bois constellé.<br /> Quel séduisant tableau ! quelle vaste féerie !<br /> Chaque fourré devient une cristallerie ;<br /> Et les blancheurs du lait, de la nacre, du sel,<br /> De l’onyx, de l’argent, de la nappe d’autel,<br /> Sur les branches du Pin, du chêne et de l’érable<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> S’entremêlent dans une harmonie ineffable.<br /> Parfois des rayons d’or frappent l’arbre qui luit,<br /> Et l’on dirait alors qu’au milieu de la nuit<br /> Une fée a touché du bout de sa baguette<br /> Les fûts de la forêt solitaire et muette,<br /> En a fait les piliers d’une église sans nom ;<br /> On songe au merveilleux temple de Salomon,<br /> Aux trésors apportés du Pérou par Pizarre.<br /> Parfois sur ces piliers d’agate et de carrare<br /> Une ombre passe et fait évanouir soudain<br /> Le vif scintillement de ce nouvel Éden.<br /> Et le bois assombri, que nul souffle n’agite,<br /> Devient la grotte où pend la blanche stalactite ;<br /> Le soleil, mi-voilé d’un nuage blafard,<br /> Entre d’épais massifs glisse un tremblant regard,<br /> Tandis qu’aux alentours un feu d’apothéose<br /> Sur les rameaux vitreux met une lueur rose<br /> Projetant sur la neige un reflet de vermeil.<br /> Mais un nuage encor nous cache le soleil :<br /> Le morne clair-obscur des vieilles basiliques<br /> Filtre à peine à travers les fûts mélancoliques<br /> Du temple indescriptible habité par l’Hiver ;<br /> Puis tout à coup des traits lumineux fendent l’air,<br /> Et, frappés par ces traits comme par un bolide,<br /> Le frimas étoilé, le glaçon translucide,<br /> Reprennent leur éclat ; et notre œil ébloui<br /> S’enivre de nouveau d’un spectacle inouï ;<br /> Que ne saurait décrire aucune langue humaine<br /> Est-ce un rêve ? Toujours une nouvelle scène<br /> Du long panorama dessiné par le gel<br /> Se déroule au sommet du grand bois solennel,<br /> Comme un drapeau géant tissé de blanche soie<br /> Sous la mitraille d’or du soleil qui flamboie.<br /> Tantôt, aux vifs rayons qui pleuvent du ciel bleu,<br /> L’immensité s’embrase : on croirait que le feu<br /> Dévore, comme en juin, la forêt centenaire.<br /> Tantôt, dans plus d’un arbre inondé de lumière,<br /> Par un mystérieux et magique travail<br /> La branche se transforme en rameau de corail.<br /> Tantôt, le chêne altier, qu’hier tordait Eole,<br /> Prend l’aspect d’une immense et riche girandole.<br /> Tout ce que le ciseau patient du sculpteur<br /> Dans le marbre ou le bois sait créer d’enchanteur<br /> En ciselant le lis, le lotus et l’acanthe,<br /> Scintille sous les arcs de la forêt géante.<br /> Tout ce que le ciseau du maître à l’œil de feu<br /> Peut, comme un blanc reflet de la maison de Dieu,<br /> Déployer dans l’abside, autour du tabernacle,<br /> Serait terne à côté de ce mouvant spectacle.<br /> <br /> Mais peut-être demain le grand flambeau des cieux<br /> Fera fondre les fleurs du givre radieux,<br /> Et tout ce vaste éclat de prodige et de rêve<br /> Devra s’évanouir comme la lueur brève<br /> D’un espoir qui, parfois illuminant nos jours,<br /> Brille quelques moments et s’éteint pour toujours.<br /> <br /> <br />
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